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martes, 30 de octubre de 2012
¿QUÉ SIGNIFICA "FRIKI"?
Esta mañana, en 2ºB de ESO, hemos comentado el significado de la palabra "friki", y muchos lo utilizáis como comodín, para señalar a cualquier persona extraña. Aquí va una explicación más amplia.
La Real Academia va a incluir esta palabra en su vigésima tercera edición. Y la podemos encontrar en el avance que ofrece a sus usuarios.
Su etimología es inglesa: freaky (extraño).
Nos interesan dos acepciones:
1. El adjetivo que significa "extravagante, raro o excéntrico".
2. Su uso coloquial: "persona que practica desmesurada y obsesivamente una afición". Este es el sentido en el que no soléis utilizar el término. Existe, incluso, un MANIFIESTO FRIKI, que quizá pueda aclaraos un poco más este aspecto de "especialización" y de "fanatismo". Lo tenéis a continuación, para que podáis emplear esta palabra con más conocimiento de causa.
MANIFIESTO FRIKI
DERECHOS INALIENABLES DEL FRIKI
1.-A ser más friki.
2.-A quedarse en casa. 3.-A no tener pareja y ser virgen hasta la edad que sea. 3.1- A, si se tiene pareja, intentar convertirla en friki. 4.-A que no les guste el fútbol ni el deporte en general. 5.-A la asociación friki. 6.-A tener pocos amigos (o ninguno). 6.1-A tener todos los amigos frikis que se quieran. 7.-A no ir a la moda (una camiseta de Homer es ir siempre a la moda). 8.-Al sobrepeso y a la miopía. 9.-A exhibir el propio frikismo. 10.-Derecho a dominar el Mundo. |
DEBERES DEL FRIKI
(DE OBLIGADO CUMPLIMIENTO)
1-Ser friki, pese a todo.
2-Intentar ser más friki que otro friki. 3-Si hay alguna discusión sobre algún tema friki, entrar a dar opinión. 4-Salvaguardar todo el material friki de "personas desaconsejables" (niños pequeños, personas limpiadoras compulsivas...). 5-Hacer todo lo posible para exponer el material friki como si fuera un "Museo del Frikismo". 6-No ser friki de todo. Hay que estar especializado en algo. 7-Ir al estreno de cualquier película friki, comprar antes que nadie un libro o DVD friki. 8-Esperar cola ante un estreno friki, aunque haya posibilidad de telecompra de entradas. Y si es disfrazado, o con camiseta friki, mejor. 9-No desprenderse de nada NUNCA relativo al mundo friki, aunque sea un envoltorio arrugado. 10-Intentar dominar el mundo. |
LA TRIBU DE DANA. Manau
A mis muchachos/as de 2ºB de ESO,
con cariño a ritmo de rap, =)
La Tribu de Dana es una canción del grupo parisino Manau, aparecida en mayo de 1998 y perteneciente a su álbum Panique Celtique.
Obtuvo el "Disco de diamante" en 1999 por vender más de 700.000 ejemplares (el "Disco de Oro" se obtiene en Francia a partir de 250.000 ventas). En total se han vendido 1.700.000 singles de esta canción.
La letra ha sido escrita por el cantante del grupo, Martial Tricoche. Y la música compuesta por los otros dos miembros de Manau, Cédric Soubiron y Hervé Lardic, a partir de una canción tradicional bretona titulada Tri Martolod ("Tres marineros").
La canción relata las hazañas de un guerrero celta de la ficticia Tribu de Dana.
Le vent souffle sur les plaines de la Bretagne armoricaine.
Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine.
Akim, le fils du forgeron, est venu me chercher ;
les druides ont décidé de mener le combat dans la vallée.
Là où tous nos ancêtres, de géants guerriers celtes,
après de grandes batailles se sont imposés en maîtres.
C'est l'heure maintenant de défendre notre terre
contre une armée de Simériens prête à croiser le fer.
Toute la tribu s'est réunie autour des grands menhirs
pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir.
Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle,
les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel,
pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille,
pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille.
Car c'est la première fois pour moi que je pars au combat
et j'espère être digne de la tribu de Dana.
{Refrain:}
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), j'ai pu entendre les échos.
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), des chants de guerre près des tombeaux.
Après quelques incantations de druides et de magie,
toute la tribu, le glaive en main, courait vers l'ennemi.
La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres,
tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre.
Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard,
sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares,
des lances, des haches et des épées dans le jardin d'Eden
qui écoulait du sang sur l'herbe verte de la plaine.
Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne
à la limite du règne du mal et de la haine.
Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ?
Mais telle était la fierté de toute la tribu.
La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant,
de férocité extrême en plus d'acharnement ;
fallait défendre la terre de nos ancêtres enterrés là,
et pour toutes les lois de la tribu de Dana.
{Refrain}
Au bout de la vallée on entendait le son d'une corne,
d'un chef ennemi qui rappelait toute sa horde.
Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer
et qu'à la tribu de Dana appartenaient ces terres ?
Les guerriers repartaient, je ne comprenais pas
tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là,
quand mon regard se posa tout autour de moi,
j'étais le seul debout de la tribu ; voilà pourquoi
mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes,
et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes.
Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné
de ce jour noir de notre histoire que j'ai contée.
Le vent souffle toujours sur la Bretagne armoricaine
et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine.
J'ai tout reconstruit de mes mains pour en arriver là,
je suis devenu roi de la tribu de Dana.
{Refrain}
Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine.
Akim, le fils du forgeron, est venu me chercher ;
les druides ont décidé de mener le combat dans la vallée.
Là où tous nos ancêtres, de géants guerriers celtes,
après de grandes batailles se sont imposés en maîtres.
C'est l'heure maintenant de défendre notre terre
contre une armée de Simériens prête à croiser le fer.
Toute la tribu s'est réunie autour des grands menhirs
pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir.
Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle,
les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel,
pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille,
pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille.
Car c'est la première fois pour moi que je pars au combat
et j'espère être digne de la tribu de Dana.
{Refrain:}
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), j'ai pu entendre les échos.
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), des chants de guerre près des tombeaux.
Après quelques incantations de druides et de magie,
toute la tribu, le glaive en main, courait vers l'ennemi.
La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres,
tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre.
Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard,
sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares,
des lances, des haches et des épées dans le jardin d'Eden
qui écoulait du sang sur l'herbe verte de la plaine.
Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne
à la limite du règne du mal et de la haine.
Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ?
Mais telle était la fierté de toute la tribu.
La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant,
de férocité extrême en plus d'acharnement ;
fallait défendre la terre de nos ancêtres enterrés là,
et pour toutes les lois de la tribu de Dana.
{Refrain}
Au bout de la vallée on entendait le son d'une corne,
d'un chef ennemi qui rappelait toute sa horde.
Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer
et qu'à la tribu de Dana appartenaient ces terres ?
Les guerriers repartaient, je ne comprenais pas
tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là,
quand mon regard se posa tout autour de moi,
j'étais le seul debout de la tribu ; voilà pourquoi
mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes,
et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes.
Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné
de ce jour noir de notre histoire que j'ai contée.
Le vent souffle toujours sur la Bretagne armoricaine
et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine.
J'ai tout reconstruit de mes mains pour en arriver là,
je suis devenu roi de la tribu de Dana.
{Refrain}
sábado, 27 de octubre de 2012
SEGUNDO PREMIO. CONCURSO de MONÓLOGOS CÓMICOS, 2012
MI COLEGIO
Por Paula Moreno Barriocanal (1º BTO.)
¡Hola amigos!
Me gusta mi colegio. Tengo muy buenos recuerdos de él. Buenísimos recuerdos de él. Aún me vienen a la mente algunos momentos en Infantil, cuando aplastábamos la plastilina contra las mesas haciendo churros finísimos a los que dábamos infinidad de formas extrañas. Y cuando acababas, ilusionado, te acercabas a tu “seño” y le decías: “¡Pofe, pofe ... mira lo que he hecho!”, y tu profe te decía: “¡Oh, es precioso! (...) ¿qué es?” Y en ese momento, furioso y ofendido le replicabas: “Pues somos mi padre, mi madre, mi hermana y yo en casa de la abuela María, ¿no lo ves o qué?” Y te ibas a tu sitio indignado pensando que eras un niño incomprendido ...
También me acuerdo de cuando estábamos en el patio de los pequeños, donde echabas un vistazo alrededor y veías un claro ejemplo de que el universo tiende al mayor desorden: los niños tirados por el suelo rebozándose en la arena, las niñas jugando a “mamás y papás”, el chulito del patio con la rueda más grande, otros intentando colarse en el Noviciado para ver a las tortugas ... ¡Qué caos!
Bueno, ¿y qué me decís de cuando nos castigaban mirando a la pared recapacitando sobre alguna cosa que habíamos hecho mal? En serio ..., ¿alguno de vosotros pensaba en eso? Porque yo me dedicaba a imaginarme caritas en el gotelé de las paredes ... En fin ...
Pero también guardo muy buenos recuerdos de Primaria, concretamente del año en el que cambias de patio ... ¡Al de los mayores! Con sus canastas, sus redondeles, su cochera, su polideportivo ... Esa época en la que cada semana tenías un cumpleaños de un compañero de clase, y que de vez en cuando alguno te decía: “lo siento, no te he invitado porque no me dejaban mis padres”, o en su defecto: “es que no me quedaban más invitaciones”; esa etapa en la que los viernes teníamos una sesión de flúor en la que nos hacíamos reír unos a otros mientras lo teníamos en la boca; esa época en la que hacías los deberes con gusto; donde teníamos modas tan diversas: cromos, tazos, peonzas, tazos, yo-yo, cromos...; ese odio histórico entre el grupo A y el B (“¡Vosotros sois A, de anormales!, ¡pues vosotros B, de burros!”), etc. Qué creatividad, cuánta imaginación.
Sin embargo, un día te haces mayor y entras en la ESO, donde tu mayor temor es la división de Conocimiento del medio en Naturales y en Sociales. De primeras, ese ínfimo detalle ya infunde respeto. Tampoco es divertido el cambio drástico de horario, ya que, además de perderte todas tus series favoritas de la hora de la comida, (o en su defecto, si eres de comedor, que te quiten tus dos horas jugando en el patio), cuando llegas a casa te comes hasta las judías verdes.
Pero, ya cuando entras en bachillerato comienzas una época de madurez. No, es broma. Sigues siendo el mismo, pero en vez de criticar a los del grupo “A” o “B” tomas represalias con el grupo de ciencias o el de letras. Y esto es así. Estudios científicos han intentado resolver este gran enigma pero aún no se sabe muy bien la causa de este suceso. Otras características de un alumno de bachillerato son calentar los bocadillos en el radiador, aglomerarse brutalmente en la puerta de clase entre cambio y cambio, no descartar posibilidades de soborno a los profesores, tener pesadillas con las PAU y con que no te dará tiempo a hacer el examen de Lengua, pegarse con tal de salir a la calle en el recreo a estirar las piernas y acabar sentados en un banco, salir tarde por la puerta verde y que Puri te regañe por culpa de que algún profesor se ha enrollado, etc.; junto a algunas de las frases típicas más utilizadas, entre las que destaco: “¡No da tiempo a hacer el examen!”, “¿si lo hacemos sube nota?”, o “¿pero esto entra en las PAU?”.
Finalmente, en un monólogo sobre el colegio, no puede faltar una mención especial a los actos conmemorativos en honor a San José de Calasanz y Madre Paula Montal. Son días en los que en el patio del colegio nos reunimos todos los alumnos y te das cuenta de que hay mundo fuera de tu mundo. Como colofón a la fiesta, el esperado chocolate con bizcochos. En principio, se pretende que todo el mundo guarde un orden y espere su turno para coger un vasito pero finalmente llega el caos. Y es que parece que algunos no han desayunado en su casa para hacerlo “de gorra” en el colegio. Pero lo más gordo es cuando, después de haberse tomado varios vasos, tener churretones de chocolate por la cara y la ropa y tocarse la tripa porque están “llenos”, van y sueltan “no ha estado mal pero me gusta más el que hace mi madre”.
¡Os deseo un feliz Día del Libro, buenos días!
miércoles, 24 de octubre de 2012
MOI..., LOLITA. Alizée
Paroles: Mylène Farmer. Musique: Laurent Boutonnat.
2000. "Gourmandises" © Requiem Publishing
2000. "Gourmandises" © Requiem Publishing
Moi..., je m'appelle Lolita,
Lo ou bien Lola,
du pareil au même.
Moi..., je m'appelle Lolita,
quand je rêve aux loups
c'est Lola qui saigne.
Quand fourche ma langue
j'ai là un fou rire
aussi fou qu'un phénomène.
Je m'appelle Lolita,
Lo de vie, lo aux amours diluviennes.
{Refrain:}
C'est pas ma faute,
et quand je donne ma langue au chat
je vois les autres
tout prêts à se jeter sur moi,
c'est pas ma faute à moi
si j'entends tout autour de moi
Hello, helli, t'es A (L.O.L.I.T.A.)
Moi..., Lolita.
Moi..., je m'appelle Lolita,
collégienne aux bas
bleus de méthylène.
Moi..., je m'appelle Lolita,
coléreuse et pas
mi-coton, mi-laine,
motus et bouche qui n'dit pas
à maman que je
suis un phénomène.
Je m'appelle Lolita,
Lo de vie, lo aux amours diluviennes.
{Refrain, x2}
LO-LI-TA {x8}
{Refrain, x3}
Lo ou bien Lola,
du pareil au même.
Moi..., je m'appelle Lolita,
quand je rêve aux loups
c'est Lola qui saigne.
Quand fourche ma langue
j'ai là un fou rire
aussi fou qu'un phénomène.
Je m'appelle Lolita,
Lo de vie, lo aux amours diluviennes.
{Refrain:}
C'est pas ma faute,
et quand je donne ma langue au chat
je vois les autres
tout prêts à se jeter sur moi,
c'est pas ma faute à moi
si j'entends tout autour de moi
Hello, helli, t'es A (L.O.L.I.T.A.)
Moi..., Lolita.
Moi..., je m'appelle Lolita,
collégienne aux bas
bleus de méthylène.
Moi..., je m'appelle Lolita,
coléreuse et pas
mi-coton, mi-laine,
motus et bouche qui n'dit pas
à maman que je
suis un phénomène.
Je m'appelle Lolita,
Lo de vie, lo aux amours diluviennes.
{Refrain, x2}
LO-LI-TA {x8}
{Refrain, x3}
martes, 23 de octubre de 2012
lunes, 22 de octubre de 2012
REGISTRO COLOQUIAL. TEXTO CORREGIDO
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Aprovecho para comentaros que el Centro Virtual Cervantes posee un blog llamado EN SINTONÍA CON EL ESPAÑOL (ESE) en el que se anuncia un proyecto de este Instituto sobre el español coloquial: Diccionario de español coloquial, Diccionario de gestos españoles, etc.
Interesante.
sábado, 20 de octubre de 2012
MONTAGE DE LA TOUR EIFFEL
viernes, 19 de octubre de 2012
JE VEUX. Zaz
Offre-moi une suite au Ritz, je n'en veux pas !
Des bijoux de chez CHANEL, je n'en veux pas !
Offre-moi une limousine, j'en ferais quoi ? Paparapapapara...
Offrez-moi du personnel, j'en ferais quoi ?
Un manoir a Neufchatel, ce n'est pas pour moi.
Offrez moi la Tour Eiffel, j'en ferais quoi ? Paparapapapara...
Refrain:
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur,
c'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur,
moi j'veux crever la main sur le coeur,
Allons, ensemble, découvrir ma liberté,
oubliez, donc, tous vos clichés,
bienvenus dans ma réalité.
J'en ai marre de vos bonnes manières, c'est trop pour moi !
Moi je mange avec les mains et j'suis comme ça !
J'parle fort et je suis franche, excusez moi !
Finie l'hypocrisie moi j'me casse de là !
J'en ai marre des langues de bois !
Regardez moi, toute manière j'vous en veux pas
et j'suis comme çaaaaaaa (j'suis comme çaaa), paparapapapara...
Refain x3:
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur,
ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur,
moi j'veux crever la main sur le coeur.
Allons, ensemble, découvrir ma liberté,
oubliez donc tous vos clichés,
bienvenus dans ma réalité !
jueves, 18 de octubre de 2012
EBLOUIE PAR LA NUIT. Zaz
Eblouie par la nuit
à coup de lumière mortelle,
à frôler les bagnoles
les yeux comme des têtes d'épingle.
J't'ai attendu cent ans
dans les rues en noir et blanc.
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit
à coup de lumière mortelle,
à shooter les canettes
aussi paumée qu'un navire.
Si j'en ai perdu la tête,
j't'ai aimé et même pire
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit
à coup de lumière mortelle,
faut-il aimér la vie
ou la regarder juste passer?
De nos nuits de fumette
il ne reste presque rien
que tes cendres au matin.
Dans ce métro rempli des vertiges de la vie
à la prochaine station, petit européen.
Mets ta main, descend-la au dessous de mon coeur.
Eblouie par la nuit
à coup de lumière mortelle,
un dernier tour de piste avec la main au bout.
J't'ai attendu cent ans
dans les rues en noir et blanc.
Tu es venu en sifflant.
GÂTEAU MOELLEUX AUX NOISETTES ET À L'ORANGE
Par Tamara Morato, 2ème BAC
Préparation : 30 min.
Cuisson : 30 min.
INGRÉDIENTS :
- 125 g. de noisettes en poudre.
- 1 orange.
- 75 g. de chapelure.
- 200 g. de sucre.
- ½ sachet de levure.
- 4 œufs.
- 1 pincée de sel.
- Vermicelles de chocolat.
PRÉPARATION :
Mélangez les 4 jaunes d’œuf avec le sucre jusqu’à obtenir un mélange mousseux. Ajoutez à ce mélange la chapelure, la levure, les noisettes en poudre, l’orange épluchée et mixée, et mélanger.
Incorporez enfin les 4 blancs d’œuf battus avec la pincée de sel.
Versez dans un moule rond et faites cuire au four à 150º C (thermostat 5). Plongez un couteau pour vérifier la cuisson (environ une demi-heure).
Ajoutez les vermicelles de chocolat lorsque le gâteau soit fait.
Bon appétit!
martes, 16 de octubre de 2012
ELEMENTOS DE LA COMUNICACIÓN Y FUNCIONES DEL LENGUAJE
TEXTO para trabajar ambos aspectos AQUÍ:
1. Explica los elementos de la comunicación que aparecen en el fragmento de La camisa, de Lauro Olmo.
2. Justifica lingüísticamente las funciones del lenguaje que se dan en él. Concluye explicando cuál es la predominante y cuál/cuáles las secundarias.
Recuerda la importancia de indagar sobre las intenciones que tiene cada uno de los emisores que aparece en el texto, en cada acto de comunicación que se produce.
viernes, 12 de octubre de 2012
PRIMER PREMIO. CONCURSO de MONÓLOGOS CÓMICOS, 2012
¿QUÉ ES ARTE?
Por Carlos Martínez Rodríguez (1ºC BTO.)
Hola a todos, quería hablaros sobre un tema que me inquieta desde hace años y que me quita el sueño y es: ¿Qué es el arte? Sí, ¿qué es? Sí, porque uno te dice: "ese cuadro de ahí es arte, esa escultura es arte"; ves a un tío que se va a tirar desde un sexto piso y cuando te acercas a comprobar el resultado del espachurramiento del fatal desenlace te sale uno y te dice: "¡Eso es arte!". Bueno, pues voy a intentar sacar una conclusión clara de esto partiendo de que el otro día me pasé todo el tiempo de museo en museo.
Bueno pues eso, nos levantamos temprano, a la una de la tarde, tampoco quería levantarme muy tarde, hay que aprovechar la mañana -yo es que sin mis trece horas de sueño no soy nadie-. Y al primer museo que voy es, cómo no, al Prado. Llego allí, y el primer cuadro que veo…
Las Meninas (haciendo gestos mientras se dice el nombre del cuadro) “emm...” ¡Ay, Las Meninas! El cuadro estaba muy bien “pintao”, poco estético eso sí, pero muy bien “pintao” y que me decís de esa menina de la derecha “eeeehhhh” bajita, fuertota, anchota, regordeta, campechana… es que estaba “cuadrá” la tía, tres horas de gimnasio mínimo “tos” los días, esa seguro que tomaba “pa” desayunar “tos” los días magdalenas “mojas” en Powerade, no me hubiera “gustao” haberme “peleao” con ella, vamos es que te daba así con “toa” la mano abierta y te metía las narices en el omóplato, fíjate lo que te digo, a quien lo pillara se hacía mostillo con él. Y esa belleza “eeehhh…” eso sí, interior porque exterior… vamos que me pones la foto de la raza esta de perro, como se llama, esto… Bulldog, bueno pues que me pones la foto de un Bulldog y la de la menina al “lao” y me dicen: "Distingue quién es quién", y digo: "¡Macho, has ido a pillar!". Entonces ya salimos del Prado, fuimos al museo Thyssen, a este de aquí, al otro de más allá, pero lo mejor fue cuando fuimos al Reina Sofía, eso sí que... vimos El Guernica de Picasso...
¡Oh... qué, qué cuadro, qué cuadro, qué cuadro! ¡Eso sí que era un cuadro y lo demás son tonterías! Transmitía una felicidad, un esplendor, una alegría, eso había que estar allí “pa” verlo “pufffff” es que la tele engaña mucho “eeehhh...”, ¡huy que si engaña!... Es que lo veías y es que te entraban unas ganas de ponerte a pegar saltos allí mismo... es que El Guernica te envenena hummm... ¡Vaya que si te envenena! Pero hubo un cuadro que es que me impactó de lleno, me impactó, me impactó, bueno... tú fíjate si me impactó que fue lo mismo que si me hubieran “pegao” con una piedra en la cabeza, tú fíjate si me tuvo que impactar. El cuadro se llamaba
El Grito nº7. El cuadro eran cuatro rayajos mal “pintaos”, porque estaban mal “pintaos” ahí “entrecruzaos” con un pincel de brocha gorda. Entonces yo me quedé mirando al cuadro a los ojos... el cuadro se me quedó mirando a mí y dije: "¿Pero esto qué es?"
Las Meninas (haciendo gestos mientras se dice el nombre del cuadro) “emm...” ¡Ay, Las Meninas! El cuadro estaba muy bien “pintao”, poco estético eso sí, pero muy bien “pintao” y que me decís de esa menina de la derecha “eeeehhhh” bajita, fuertota, anchota, regordeta, campechana… es que estaba “cuadrá” la tía, tres horas de gimnasio mínimo “tos” los días, esa seguro que tomaba “pa” desayunar “tos” los días magdalenas “mojas” en Powerade, no me hubiera “gustao” haberme “peleao” con ella, vamos es que te daba así con “toa” la mano abierta y te metía las narices en el omóplato, fíjate lo que te digo, a quien lo pillara se hacía mostillo con él. Y esa belleza “eeehhh…” eso sí, interior porque exterior… vamos que me pones la foto de la raza esta de perro, como se llama, esto… Bulldog, bueno pues que me pones la foto de un Bulldog y la de la menina al “lao” y me dicen: "Distingue quién es quién", y digo: "¡Macho, has ido a pillar!". Entonces ya salimos del Prado, fuimos al museo Thyssen, a este de aquí, al otro de más allá, pero lo mejor fue cuando fuimos al Reina Sofía, eso sí que... vimos El Guernica de Picasso...
¡Oh... qué, qué cuadro, qué cuadro, qué cuadro! ¡Eso sí que era un cuadro y lo demás son tonterías! Transmitía una felicidad, un esplendor, una alegría, eso había que estar allí “pa” verlo “pufffff” es que la tele engaña mucho “eeehhh...”, ¡huy que si engaña!... Es que lo veías y es que te entraban unas ganas de ponerte a pegar saltos allí mismo... es que El Guernica te envenena hummm... ¡Vaya que si te envenena! Pero hubo un cuadro que es que me impactó de lleno, me impactó, me impactó, bueno... tú fíjate si me impactó que fue lo mismo que si me hubieran “pegao” con una piedra en la cabeza, tú fíjate si me tuvo que impactar. El cuadro se llamaba
Y me salta el guía:
-Este cuadro es uno de los cuadros españoles que mejor refleja el expresionismo abstracto de la época...
Y digo yo:
-Pero si esto se lo “han dejao” a medias.
Y me dice:
-No, no, no, esta es una de las obras más conocidas y emblemáticas del autor en donde se advierte toda su fuerza y expresividad pictórica. El pincel recorre el lienzo con tal vehemencia que permite que el propio grito interior explosione en todo el cuadro y existen efectos de chorreado muy propios de la conocida como art painting consiguiendo así una perfecta simbiosis entre abstracción y realismo, y actualmente se encuentra en venta.
¡Ojo! Ya nos estamos inventando términos que no existen en inglés “pa” que quede más importante: “art painting” que viene a ser “arte pintando”. ¿Qué es eso? “¡Cuidao!”, “cuidao” con ese que hace “art painting”... y encima el tío me estaba intentando vender el producto en plan teletienda, era algo así como:
(Con voz de anuncio de teletienda): "¿Harto de esos michelines, deseas tener un cuerpo esculpido y tonificado? ¡Hola! Soy Billy Wait, tres veces campeón del mundo de estafamiento y esta es mi compañera Samantha. Les presentamos este magnífico producto, y ahora vamos con algunos testimonios reales:
(Se ponen a hablar personas que han utilizado el producto con las voces características de estos anuncios)
-Sí, bueno, pues yo con el nuevo Vibropower plus plegable adelgacé veinte kilos en tan solo dos semanas. ¡Y de la manera más fácil!
-¡Así que adquiera esta increíble oferta ahora mismo! ¡No disponible en tiendas!".
(¡Mentira!, en el Corte Inglés está, en la primera planta conforme entras, en el estante de la derecha! ¡Y sale tu cara en la caja sonriendo con esa dentadura perfecta, Billy, y la tuya también, Samanta! ¡Mentirosos! ¡Que estáis compinchados todos! ¡Estáis todos metidos en el ajo!)
"¡Esta oferta es de unidades limitadas así que si no llama ahora podría quedarse sin ella!".
(Mentira, eso no se lo compra nadie, lo dicen porque no venden y es “pa” que se lo compres).
"¡Llama ahora mismo! ¡Un momento, un momento me informan de que si llamas en los próximos veinte minutos te llevarás un chicle que nos hemos encontrado esta mañana en el suelo totalmente gratis; no lo dudes y llama ya!".
Bueno y entonces yo ya le pregunté:
-¿Y de qué precio estaríamos hablando?
Y me dice:
-Diez millones de euros.
-Hummm.... estamos altos, estamos altos, mejor me voy a comprar ahí a la papelería unas Plastidecor y yo ya... ya yo... “eehh” si “pa” unos cuantos rayajos tampoco creo que... más barato me va a salir seguro, yo creo que me va a sobrar y todo.
Total, que ya era la hora de la comida, me fui a comer a un restaurante que había al lado, que me di cuenta cuando ya me había sentado de que era muy… dejémoslo en “chic”. La situación de la sala era: un cristal opaco enfrente, cuatro macetas en las esquinas y, a mi izquierda, un cuadro en vez de con cuatro rayajos con cinco “eehh” .Yo me pedí un solomillo y pensé: "bueno, bueno, bueno, cómo me voy a poner"… Bien, pues me lo trajeron, pero el solomillo solo vino en espíritu porque en cuerpo no
estaba, eso era todo plato, tuve que empezar a buscarlo porque no lo encontraba y cuando por fin lo encontré tuve que pedirle unos prismáticos al camarero para atinar a pinchar el solomillo. Bueno, pues terminé, me fui con hambre, pero me pegaron un buen sablazo, tanto que tuve que pedir un préstamo para pagar el solomillo.
estaba, eso era todo plato, tuve que empezar a buscarlo porque no lo encontraba y cuando por fin lo encontré tuve que pedirle unos prismáticos al camarero para atinar a pinchar el solomillo. Bueno, pues terminé, me fui con hambre, pero me pegaron un buen sablazo, tanto que tuve que pedir un préstamo para pagar el solomillo.
Y ya por último nos fuimos al último museo, este era un museo muy innovador y mezclaba la obra de arte con sonido. Sí, había al lado un botoncito que lo pulsabas y entonces el personaje de la obra hablaba. Voy yo dispuesto a probar eso y veo un retrato de Mickey Mouse sacando de paseo a Pluto, que no me pregunteis por qué pero estaba ahí. Pulso el botón y suena: (a partir de ahora todos los personajes que se nombren hablarán con sus respectivas voces).
(Mickey Mouse) -¡Hola, soy Mickey, Mickey Mouse ja, ja, ja!.
Le di otra vez y sonó:
- ¡Pluto, ven aquí!
Le di una vez más y dijo: - ¡Me parece una idea genial!
Le di otra vez y sonó:
- ¡Pluto, ven aquí!
Le di una vez más y dijo: - ¡Me parece una idea genial!
Cambié a otro personaje, me encontré un retrato del Rey de España que decía: (Rey) "Me llena de orgullo y satisfacción en estas fechas tan marcadas felicitarles la Navidad ¡Uyy! Que me caigo, ¡ya me ha vuelto a poner la zancadilla el Undargarin! Entre este y los ingleses con Gibraltar la que me están dando, mira que ya maté un elefante el otro día en Bostwana, que me da lo mismo matar a un inglés que a un elefante ¡Que yo donde pongo el ojo pongo la bala! Bueno, como iba diciendo, que me llena de orgullo y satisfacción en estas fechas tan marcadas felicitarles la Navidad y también quisiera aprovechar para pedirles que marquen la casilla a favor de la monarquía en la declaración de la renta". (Príncipe) "¡Pero papá, eso no existe!". (Rey) "¡Cállate, Felipe, o es que te quieres quedar sin reyes como el año pasado!".
Y entonces, a partir de ese momento esto me fascinó y empecé a tocar un montón de botones sin parar. Fue algo así como:
-(Manjula): ¡Pero Apu, dijiste que te casarías conmigo!
-(Director Skinner): ¡Ya voy madre!
-(Rocky Balboa): Soy yo, Rocky, Rocky, ya sabes...
-(Robert De Niro): Tú, tú, eres bueno tío, eres bueno, no, no, tú sí que eres bueno, !Abogado!
-(La duquesa de Alba): A mí me ha gustado mucho el regalo...
-(Bisbal): ¡Dios mío de mi vida, increíble, increíble la cantidad de gente hoy aquí! ¡Vamos ya! ¡Os quiero!
-(Bustamante): Bueno, he venido a presentaros mi nuevo disco en el que salgo cantando por la parte de delante, por la parte de detrás y por la parte del canto sigo cantando porque es que a mí me gusta mucho cantar. Y la verdad es que me llena de orgullo, ¿no?… Y un saludo para San Vicente de la Barquera y, sobre todo, todo agradecérselo a mis fans; y no, no voy a llorar (se pone a hacer flexiones en el suelo) una, dos, tres (se levanta exhausto) ¡Y así hasta diez si hace falta!
-(Rosa): ¡Hola, ¿qué pasa?, soy Rosa, dieta sana, vida sana y xls.
-(Joaquín Sabina): ¡Ahora es demasiado tarde princesa!
-(Bono): Y es que espero y ardo en deseo de que ese asunto se solucione fraternalmente y, además, les voy a contar un chiste que me contaron el otro día que resulta que esto era un matrimonio y le dice la mujer al marido:
-¡Manolo hay que ver que llevamos cincuenta años casados y todavía no “mas comprao ná”!
Y dice Manolo:
- “Ah”, es que no me había “enterao” de que tú
vendías cosas.
vendías cosas.
Bueno, y luego me encontré con un personaje imaginario llamado "el mafioso Savatore", que contaba un chiste que decía: "El otro día iba comiendo pipas por la calle, un tipo con un arma se me acercó y me dijo: "¡Las pelas!"; y yo le dije: "¡Pues claro que las pelo, no me las voy a comer con cáscara!"
Y, por último, pulsé al mejor personaje de todos, a Gila, que decía: "¿Está el enemigo?, que se ponga; oiga, les llamo porque últimamente están tirando a dar, sí, ¿y mañana a qué hora piensan atacar? A las siete, ¡uy a las siete estamos “tos acostaos”!, ¿podría ser mejor por la tarde, después del futbol? ¡Ah!, y mire, ¿podrían parar un momento ustedes la guerra? Es que resulta que el capitán “sa metió” dentro del cañón porque se le han caído las gafas y como tiene las orejas de soplillo al ir “patrás" se le dan la vuelta, se le encajan y no puede salir de ahí. (Responde a lo que le preguntan por teléfono) ¡No, no, está vivo, si patalea...! Dice: "¡Sacarme de aquí! ¡Sacarme de aquí!". ¿Qué dice usted?... Que disparando se desatranca, ¿verdad? No, ya, si eso mismo también había “pensao” yo. Bueno, que le tengo que dejar, que tengo que hacer otra llamada, adiós". (Cuelga el teléfono y vuelve a llamar).
"Oiga, ¿es usted al que le pedimos las armas? Pues mire, resulta que de los seis cañones que nos han “enviao”, cuatro están sin agujero. Sí. ¿Que cómo estamos disparando? Pues con la bala por fuera. Al mismo tiempo que uno aprieta el gatillo, el otro corre con la bala, lo que pasa que, claro, se cansan y la sueltan, y no sabemos dónde, porque como no vuelven ¡Ah! Y la metralleta tampoco nos ha “llegao”, tenemos a un tartamudo que cuando queremos hacer que dispare hace tatatatatata..., y ¿qué le iba a decir?, que si nos podrían mandar también más paracaidistas, que es que solo nos queda uno, es que nos valen “pa” solo una vez porque los tiramos sin “ná”. ¡Ah! Y el submarino que nos mandaron ayer por la tarde, un trabajo “pa” ponerlo debajo del agua…, hasta esta mañana no lo hemos “conseguío”. (Escucha mientras le hablan por teléfono y cuando termina de hablar el fabricante dice:) ¡Bueno! ¡No me diga usted que era un barco! Pues nos ha “costao” un trabajo hundirlo… ¡Pero hombre con estas cosas se manda un folleto o algo! De verdad…, y del tanque nada, tenemos a un enanito que va “montao” encima de un 600 que insulta a “to” el que pilla..., hombre no mata, pero desmoraliza".
En conclusión, el arte es “inventao” como el dibujo técnico, “pa” sorprender a las visitas. ¡Muchas gracias!
¿QUÉ ES ARTE?, por Carlos Martínez Rodríguez
¿QUÉ ES ARTE?, por Carlos Martínez Rodríguez
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